3 septembre 2009
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La dent du géant est située sur la frontière entre la France et l’Italie, au départ des arêtes de Rochefort.
Ce belvédère se voit de très loin, que l’on soit coté français ou coté italien.
L’envie de le gravir passe dans la tête de chaque montagnard.
Le défaut de cette course est son apparente facilité car l’itinéraire de la voie normale est équipé de cordes fixes.
Cela incite à la gravir même avec un faible niveau.
Du coup, de nombreuses cordées se retrouvent au pied pour la tenter. Il est possible de voir une cinquantaine de personne les jours d’affluence.
Malheureusement, malgré les cordes en place, l’escalade reste très physique, de plus l’altitude est élevée, le sommet est à 4000m et la marche d’approche est longue et technique.
Cela fait qu’on se retrouve avec des grappes de grimpeurs fatigués, pendus sur les relais, se gênant les uns les autres et donnant une ambiance déplorable.
Pour éviter ceci, avec Rémy, nous sommes parti de façon l'escalader dans l’après midi et de dormir au refuge le soir.
Malgré tout, arrivé au pied, nous avons butté sur les cordées parties dès le matin.
Avec diplomatie, nous avons pu doubler tout ce beau monde et arriver au sommet en même temps que cordée de tête partie à la première benne.
Malgré le monde, malgré les cordes fixes et malgré le froid (samedi, le vent du nord était glacé) l’ascension de la dent du Géant reste une très belle course.
Rémy a pu cocher une page de plus.
Ce belvédère se voit de très loin, que l’on soit coté français ou coté italien.
L’envie de le gravir passe dans la tête de chaque montagnard.
Le défaut de cette course est son apparente facilité car l’itinéraire de la voie normale est équipé de cordes fixes.
Cela incite à la gravir même avec un faible niveau.
Du coup, de nombreuses cordées se retrouvent au pied pour la tenter. Il est possible de voir une cinquantaine de personne les jours d’affluence.
Malheureusement, malgré les cordes en place, l’escalade reste très physique, de plus l’altitude est élevée, le sommet est à 4000m et la marche d’approche est longue et technique.
Cela fait qu’on se retrouve avec des grappes de grimpeurs fatigués, pendus sur les relais, se gênant les uns les autres et donnant une ambiance déplorable.
Pour éviter ceci, avec Rémy, nous sommes parti de façon l'escalader dans l’après midi et de dormir au refuge le soir.
Malgré tout, arrivé au pied, nous avons butté sur les cordées parties dès le matin.
Avec diplomatie, nous avons pu doubler tout ce beau monde et arriver au sommet en même temps que cordée de tête partie à la première benne.
Malgré le monde, malgré les cordes fixes et malgré le froid (samedi, le vent du nord était glacé) l’ascension de la dent du Géant reste une très belle course.
Rémy a pu cocher une page de plus.