4 mai 2009
1
04
/05
/mai
/2009
23:14
Jeudi, départ du parking, pour le refuge de Chabot, les bourrelets laissés par le chasse-neige sont encore bien
visibles.
Nous montons dans la forêt dans une trace rendue difficile par le passage de randonneurs en raquette.
Quelques chamois égayent notre effort.
Après une petite collation composée de saumon fumé et de tomme cerronnée,
nous atteignons le refuge encadré de murs de neige.
La soirée est calme car nous ne sommes que 9 randonneurs dans le refuge.
Vendredi, journée de mise en jambe,
900m de dénivelé pour rejoindre le col du grand Neyron où se trouve le bivouac Sterna, caché sous la neige.
La descente est très moyenne, la neige est encore “carton“, le soleil n'a pas encore fait son travail.
Lors cette deuxième soirée au refuge, la salle est nettement plus remplie car beaucoup ont profité de ce week-end rallongé pour profiter de l'air des montagnes.
Samedi, c’est le grand jour, nous partons pour le point culminant de notre raid. Une courte descente et nous collons nos peaux.
La trace par endroits est un peu raide.
Mais ensuite en prenant un rythme régulier le sommet s’approche tranquillement.
Au col, c’est la foule des grands jours.
L’approche de la vierge est toujours un peu compliquée dû à l’étroitesse de l’arête et à la forte densité de randonneurs.
Le paysage au sommet est magnifique, le Grand paradis est en retrait de l’arc alpin, face au virage que font les alpes pour passer de l’axe sud-nord à l’axe ouest-est. Sa position permet de contempler un panorama du Viso au mont Rose
en passant par le Queyras, l'Ubaye, l’Oisans, la Vanoise, le massif du mont-blanc et les 4000 du Valais.
La descente est très agréable, la première partie en neige froide lisse, puis
une partie en neige un peu carton mais bien skiable et l’arrivée sur Victor Emmanuel en neige de printemps.
Dimanche, pour cette dernière journée, l’objectif est le col du grand Etret.
Une légère montée,
puis une grande traversée descendante nous amène au pied du col.
Une petite heure de montée
nous permet de contempler la province du Piémont et la vallée de Susa.
La neige, poudreuse puis printemps, nous mène jusqu’au parking de pont, ce qui est inhabituel à cette époque de l’année.
En revanche, il ne faut pas arriver trop tard au parking pour ne pas risquer de descendre dans une neige pourrie et surtout pour éviter les grosses coulées de fonte de l’après-midi.
Au final 4 superbes journées.
Nous montons dans la forêt dans une trace rendue difficile par le passage de randonneurs en raquette.
Quelques chamois égayent notre effort.
Après une petite collation composée de saumon fumé et de tomme cerronnée,
nous atteignons le refuge encadré de murs de neige.
La soirée est calme car nous ne sommes que 9 randonneurs dans le refuge.
Vendredi, journée de mise en jambe,
900m de dénivelé pour rejoindre le col du grand Neyron où se trouve le bivouac Sterna, caché sous la neige.
La descente est très moyenne, la neige est encore “carton“, le soleil n'a pas encore fait son travail.
Lors cette deuxième soirée au refuge, la salle est nettement plus remplie car beaucoup ont profité de ce week-end rallongé pour profiter de l'air des montagnes.
Samedi, c’est le grand jour, nous partons pour le point culminant de notre raid. Une courte descente et nous collons nos peaux.
La trace par endroits est un peu raide.
Mais ensuite en prenant un rythme régulier le sommet s’approche tranquillement.
Au col, c’est la foule des grands jours.
L’approche de la vierge est toujours un peu compliquée dû à l’étroitesse de l’arête et à la forte densité de randonneurs.
Le paysage au sommet est magnifique, le Grand paradis est en retrait de l’arc alpin, face au virage que font les alpes pour passer de l’axe sud-nord à l’axe ouest-est. Sa position permet de contempler un panorama du Viso au mont Rose
en passant par le Queyras, l'Ubaye, l’Oisans, la Vanoise, le massif du mont-blanc et les 4000 du Valais.
La descente est très agréable, la première partie en neige froide lisse, puis
une partie en neige un peu carton mais bien skiable et l’arrivée sur Victor Emmanuel en neige de printemps.
Dimanche, pour cette dernière journée, l’objectif est le col du grand Etret.
Une légère montée,
puis une grande traversée descendante nous amène au pied du col.
Une petite heure de montée
nous permet de contempler la province du Piémont et la vallée de Susa.
La neige, poudreuse puis printemps, nous mène jusqu’au parking de pont, ce qui est inhabituel à cette époque de l’année.
En revanche, il ne faut pas arriver trop tard au parking pour ne pas risquer de descendre dans une neige pourrie et surtout pour éviter les grosses coulées de fonte de l’après-midi.
Au final 4 superbes journées.